Giovanni Battista Podestà, Le Diable, Collection Antoine de Galbert, Paris.
Written by Lucienne Peiry in Presse
18 mai 2021
La mort chez Podestà se manifeste de façon jubilatoire dans ses sculptures et ses peintures, mais aussi lorsqu’il fait de son corps un support d’expression privilégié. En aucun cas considérée comme un tabou, la mort est « apprivoisée » : Podestà certes la redoute, mais il la peint, la sculpte, la nomme.
Un essai en italien de Lucienne Peiry paraît sur la vision de la mort chez Podestà dans la revue italienne dirigée par Eva di Stefano, «Osservatorio Outsider Art» , no 21, primavera 2021, pp. 112-117.
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