Constance Schwartzlin-Berberat, Musée de la Psychiatrie, Berne
Written by Lucienne Peiry in Presse
20 avril 2021
« Les liens complexes entre sexe et nourriture se découvrent parfois crûment, à la lumière de l’aliénation, de la souffrance ou de l’enfermement. Distordus, altérés, ils apparaissent alors dans les expressions artistiques que les malades s’approprient. C’est le cas de Constance Schwartzlin-Berberat, schizophrène et gourmande. »